Si l’on part du principe qu’une fois sorti de son espace de travail industriel restreint, un robot classique est moins agile et plus sensible au chaos d’un environnement naturel, un robot mou apporte au contraire une souplesse qui lui permet de s’adapter à son environnement.
À travers différentes recherches qui sont faites dans plusieurs laboratoires dans le monde, des découvertes sont faites en matière de déplacement, de préhension, d’orientations dans le domaine des robots souples.
En matière de robots mous, il faut aussi penser particulièrement aux robots souples miniatures.
Si l’on en croit Giada Gerboni, ingénieur biomédicale, qui est intervenue lors d’une conférence TED, les soft bots, ou robots mous vont être de plus en plus demandés dans la chirurgie ambulatoire, notamment avec l’arrivée de nouvelles aiguilles pilotables, capables d’être contrôlées avec précision pour contourner des obstacles à l’intérieur du corps humain.
Des muscles artificiels humains pour faire marcher les robots