Dimanche dernier, Planète Robots vous proposait de découvrir un court métrage mettant en scène un robot psychopathe. Cette semaine, c’est un autre petit film que nous vous proposons avec un robot plus sympathique et moins dérangé… ou presque.
Dans cette vidéo de Ruairi Robinson, on découvre en 12 minutes le stéréotype du robot de science fiction serviable à souhait. On y découvre Blinky, un humanoïde véritable compagnon de jeu pour Max Records, un petit garçon perturbé par les disputes de ses parents… Alors que les relations entre ses parents se dégradent, l’enfant retrouve le sourire grâce au soutient de son ami le petit robot. Un portrait idyllique de la robotique… mais Blinky s’avèrera t-il aussi serviable qu’il n’y parait? Est-ce qu’un déraillement dans l’attitude de ce petit tas de boulons à la bonhomie sympathique ne risque pas de replonger le spectateur dans la controverse du recours à la technologie? Est ce que ce robot répond aux lois de la robotique?
Un chose est certaine, Blinky ne demande qu’une chose : devenir votre ami, pour le meilleur et pour le pire… le reste des réponses dan la vidéo!
Quand les robots auront des émotions la nécessité de créer une brigade de protection des robots sera essentiel pour leurs protections et la nôtre ( voir le film L’Homme bicentenaire ) en autre.
Isaac Asimov ” lois de la robotique ”
• Première Loi : « Un robot ne peut porter atteinte à un être humain ni, restant passif, laisser cet être humain exposé au danger. » ;
• Deuxième Loi : « Un robot doit obéir aux ordres donnés par les êtres humains, sauf si de tels ordres sont en contradiction avec la Première Loi. » ;
• Troisième Loi : « Un robot doit protéger son existence dans la mesure où cette protection n’entre pas en contradiction avec la Première ou la Deuxième Loi. »
• Loi Zéro : « un robot ne peut porter atteinte à l’humanité dans son ensemble, même pour protéger un être humain : Un robot ne peut ni nuire à l’humanité ni, restant passif, permettre que l’humanité souffre d’un mal. .»
Et je rajouterai faire passer un permis de posséder un robot (humanoïde)
Et qu’il soit en constante relation avec un serveur mondial robotique pour analyser les risques de maltraitance des propriétaires envers leurs robots (et il y en aura hélas)